Dernières critiques Rss

Publié le 15 avril 2001  à propos de Un temps pour l'ivresse des chevaux
Exceptionnel. Après avoir visionné ce chef-d'oeuvre, on porte un regard différent sur les réfugiés...

Publié le 15 avril 2001  à propos de L'Echange
Trop long. On se fait ch*** !!! Heureusement que je ne paie pas mes places de cinéma.

Publié le 14 avril 2001  à propos de Les Visiteurs en Amérique
Un remake des Visiteurs 1 pour je suppose les Américains. L'histoire est la même avec de petites différences dans le scénario qui rendent l'histoire moins convaincante. Il y a peu de nouvelles situations comiques par rapport aux Visiteurs 1. Jean Reno joue de manière plus molle. Je suis décus, alors que je regarde toujours avec beaucoup de plaisir les deux versions précédentes.

Publié le 14 avril 2001  à propos de Chocolat (2000)
Trop super ! J'ai adorer et on se plonge vraiment dans l'histoire. Allez le voir . Et les fille(pour ceux qu'ils aime), on ne vois pas beaucouc Jonny Depp.Mais Aller le voir quand même!!!!!!

Publié le 14 avril 2001  à propos de L'Echange
Une femme recherche son mari, kidnappé dans une zone en guerre (civile). De quel film cette phrase résume-t-elle l'argument? Du sensible et terrifiant 'Harrison's flowers' d'Elie Chouraqui? Bien sûr. Mais aussi de ce très moyen (?) 'Preuve de vie', caricatural et décevant. Meg Ryan et son mari, tous deux américains, vivent depuis plusieurs années au gré des affectations lointaines de ce dernier. Les voici dans un pays imaginaire d'Amérique latine, le Tecala (on se croirait dans 'Tintin et les Picaros'), où cet ingénieur dirige la construction d'un barrage, concession a peine déguisée pour obtenir l'accord de la junte en place de construire un oléoduc. Changement d'actionnaire principal oblige, le projet de barrage est abandonné: foin de toute pudeur, l'accord entre les pétroliers et les militaires s'affiche avec éclat. C'est à ce moment que survient l'enlèvement de l'ingénieur, à l'occasion de l'attaque surprise d'un barrage routier par un commando de résistants. Identifié comme un salarié de la société pétrolière honnie, il est conservé en otage et s'engage alors l'épreuve de force entre les rebelles et la femme du détenu. Pour mener les négociations celle-ci est aidée par un spécialiste, Russell Crowe, homme de main d'une compagnie d'assurances couvrant le risque d'enlèvement de hauts cadres d'entreprises affectés dans des pays instables (c'est un peu le 'chasseur de prime' du nouveau far west!). Décrire les conditions de son intervention serait trop long; disons qu'il n'est pas insensible au charme de Meg Ryan désemparée. Tout se terminera par une opération de commando, montée par une équipe de collègues de ce subtil négociateur, ce qui donne une séquence qui n'est pas sans rappeler les plus mauvais films inspirés, en son temps, par la guerre du Vietnam. C'est affligeant. Soyons honnêtes: les paysages andins (ou censés l'être puisqu'une équipe a tourné en Pologne...) sont beaux. Mais c'est à les regarder que l'on peut éprouver les seuls sentiments offerts par ce film. Les acteurs (?) se sont coulés dans des caricatures, le suspense est inexistant, les invraisemblances sont plus nombreuses que les 'tupamaros' censés mettre en péril l'odieux pouvoir en place. Tous les ingrédients du mauvais film américain sont consciencieusement réunis. Du couple finalement réuni on ne saura qu'une chose: leur affection, prétendu ressort du film, vaut 650.000 USD; pas plus.

Les plus actifs du moment

3 critiques
3 critiques
3 critiques
3 critiques
2 critiques

Newsletter Cinebel

Suivez Cinebel